L’année qui vient de s’achever a été marquée par le début d’un atterrissage en douceur pour
le marché immobilier résidentiel au Québec qui, dans l’ensemble, a connu un rééquilibrage,
accompagné de hausses de prix plus modérées. Cet atterrissage en douceur devrait se
poursuivre en 2014, même si, contrairement à ce que l’on a observé en 2013, le nombre de
ventes résidentielles devrait légèrement croître au cours de l’année….
L’année qui vient de s’achever a été marquée par le début d’un atterrissage en douceur pour
le marché immobilier résidentiel au Québec qui, dans l’ensemble, a connu un rééquilibrage,
accompagné de hausses de prix plus modérées. Cet atterrissage en douceur devrait se
poursuivre en 2014, même si, contrairement à ce que l’on a observé en 2013, le nombre de
ventes résidentielles devrait légèrement croître au cours de l’année.
L’environnement économique demeurera généralement favorable
Bien qu’une très légère hausse des taux hypothécaires soit anticipée au cours de la
deuxième moitié de 2014, avec l’accélération prévue de la croissance économique mondiale
et canadienne, l’environnement économique québécois devrait demeurer généralement
favorable au marché immobilier résidentiel puisque d’autres facteurs favoriseront une
augmentation de la demande.
En 2013, le marché de l’emploi a connu un bilan plutôt mitigé avec la création de seulement
14 700 postes à l’échelle provinciale, soit une hausse relativement faible d’à peine 0,4 %.
Toutefois, la situation du marché de l’emploi devrait s’améliorer légèrement au Québec au
cours des douze prochains mois et cela stimulera l’activité du marché immobilier sans pour
autant en être le moteur le plus important. En revanche, la croissance démographique des
dernières années, elle-même attribuable à une amélioration du solde migratoire net, sera
la force principale qui tirera le marché de la revente vers le haut en 2014. Ainsi, le solde
migratoire net positif, qui se situe aux alentours de 40 000 personnes pour l’ensemble de
la province depuis quelques années maintenant, devrait contribuer à accroître la demande
sur le marché immobilier résidentiel québécois. La région de Montréal, qui affiche un solde
migratoire net positif d’environ 34 000 personnes depuis quelques années également, est
un centre d’attraction important. Son marché immobilier résidentiel devrait donc bénéficier
majoritairement des effets de ces évolutions démographiques.
Légère hausse du nombre de transactions et augmentation modérée des inscriptions
Les dernières prévisions de la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ)
laissent entrevoir que quelque 73 500 ventes résidentielles seront réalisées à l’échelle de
la province en 2014 par l’intermédiaire du système Centris® des courtiers immobiliers. Cela
représentera une hausse de 3 % par rapport à 2013. L’an dernier, principalement en raison
de règles hypothécaires plus strictes, les ventes s’étaient repliées de 8 %, enregistrant leur
niveau le plus faible en sept ans.
L’année 2013 a été marquée par une hausse prononcée du nombre de propriétés offertes
sur le marché québécois. Le nombre d’inscriptions en vigueur a grimpé de 9 % par rapport
à 2012, soit une troisième hausse annuelle consécutive. Le nombre de propriétés offertes a
ainsi atteint un niveau plus de deux fois supérieur à ce que l’on pouvait observer au début des
années 2000. Pour 2014, la FCIQ s’attend à ce que l’on assiste à une hausse très modérée,
voire même à une stabilisation du nombre de propriétés à vendre. Dans tous les cas, les
changements du côté de l’offre ne devraient pas être assez importants pour affecter les
conditions du marché résidentiel québécois qui resteront globalement stables en 2014 dans
la plupart des centres urbains de la province : elles demeureront équilibrées pour l’unifamiliale
et le plex, et continueront d’avantager légèrement les acheteurs pour la copropriété.
Une relative stabilité des prix est à prévoir
En 2014, les pressions sur les prix seront beaucoup plus faibles puisque, dans la grande
majorité des centres urbains de la province, le marché immobilier n’avantage plus les
vendeurs comme c’était le cas depuis plusieurs années. Avec des conditions de marché qui
resteront équilibrées pour l’unifamiliale et le plex, et légèrement à l’avantage des acheteurs
pour la copropriété, il faut donc s’attendre à une relative stabilité des prix au cours de la
prochaine année. Ainsi, le prix médian des maisons unifamiliales atteindra 226 500 $ au
Québec en 2014, ce qui représente une hausse de 1 % par rapport à 2013, alors qu’il s’est
élevé à 225 000 $.
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