Êtes-vous connaisseur? Que vous soyez amateur d’histoire ou non, vous aimerez surement ce petit vidéo sur l’histoire fascinante de Laval-Ouest.
Transcription:
L’histoire de Laval-Ouest en 3:20 minutes
Alors tout a commencé en 1926 avant cette année-là à Laval-Ouest c’était des terres de fermiers puis pas des super de bonnes terres de fermier d’après ce que je comprends parce que ça inondait et ce n’était pas bien bien utilisables. Alors tout ça a commencé, Laval-Ouest, par, dans le fond c’est 2 Américains qui ont parti ça, Smadbeck, ils ont décidé d’acheter les terres ici et de faire un village de vacances d’été pour les Montréalais, puis ça, c’est un concept qu’ils connaissaient bien parce qu’ils l’avaient déjà fait dans le coin de New York puis ça fonctionnait bien. Dans le fond ils ont fait une copie conforme de leur petit village d’été qu’ils faisaient dans le coin de New York même les noms de rues, il y avait les mêmes noms de rue. Puis ça bien fonctionné, ils ont vendu des chalets ça ne coûtait pas cher parce que c’était juste des chalets d’été tu pouvais pas rester là l’hiver, c’était 3 saisons gros max, puis ça l’inondait aussi même où il y avait les chalets, ça inondait dans ce temps-là, fait que des fois les gens revenaient l’été prochain et le chalet avait changé de place. Faque c’était la réalité de la chose, et les gens avaient beaucoup de plaisir c’était très très populaire dans les années 20, 30 comme endroit pour venir passer l’été avec les plages et tout ça, d’ailleurs ça s’appelait plage Laval à cette époque-là.
Avec le temps ça c’est développé et c’est devenu une réelle municipalité qu’on appel Laval-Ouest qu’on a appelé Laval-Ouest Municipalité maintenant c’est la ville de Laval qui a aggloméré tout ça puis c’est un quartier qui garde toujours le nom de Laval-Ouest, puis en 1985 on a bâti un barrage qui a mis fin à toute fin pratique, aux inondations ce qui fait que dans le temps où j’étais jeune et dans le temps de mon père fallait des fois prendre un canot pour aller visiter les gens qui restaient dans le bas de Laval-Ouest un peu plus proche de la rivière ça c’est plus un problème du tout fait qu’on a maintenant des constructions qui se sont faites, des constructions permanentes puis c’est devenu un quartier résidentiel.
Oui, il y a encore beaucoup de vestiges si on veut, des années 30, 40, 50 et 60, quelques exemples ont a le hangar qui est une entreprise de portes et fenêtres sur Sainte-Rose proche de la Marquise ça avant c’était un cinéma. On a le nouveau Century, le building du nouveau Century au coin de la 24 et Ste-Rose, ça c’était une pharmacie à l’époque. On a aussi la caserne de pompier sur la 24ème rue, qui était, a toujours une caserne de pompier, mais c’était aussi l’hôtel de ville au tout début, je pense qu’on parle des années 40-50, puis y’en a bien d’autres qu’on peut, auxquels ont peut penser, mais on n’a pas le temps de tous les dires. Faque c’est un peu pour ça que Laval-Ouest c’est un peu nostalgique qu’ils ont des beaux souvenirs, parce que c’était une colonie de vacances en quelque sorte, du moins pour les gens qui sont ici depuis les années 50 et 60 un feeling de bonheur et de liberté parce que les gens étaient en vacances quand ils étaient à Laval-Ouest, les gens sont très très nostalgiques pour ça, ils aiment beaucoup leur quartier.
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Falafel, halvah, shawarma, moussaka, spanakopita, empanadas, samosas, paneer, pad thai, phò, dim sum, pastel de nata… en grandissant au Nouveau-Brunswick dans les années 80-90, ces mots n’étaient pas encore dans mon vocabulaire. En fait, manger “ethnique” se résumait à manger au Pizza Hut ou au chinois du coin. En 2000 j’ai vu s’ouvrir mes horizons
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